Que pensez-vous des certificats médicaux plus remboursés ?

Jean noel H - Modifié par jerome_d le 16/12/2013 à 17:46
 jsaturnin - 12 févr. 2014 à 23:54
Alors que la Sécu demande à faire du sport ?
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51 réponses

C'est sur, il vaut mieux encourager les gens à aller au bistrot plutôt qu'à faire du sport. Ainsi ils mourront plus jeunes et ça permettra de réquilibrer le budget des retraites. C'est l'évolution de notre société actuelle....
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J'aimerai bien répondre, mais je vis dans une bulle, avec mes 620 euros de ma poche pour des lunettes qu'ils sont en train de me refaire, je ne voyais rien à travers, et la visite de mon ophtalmo en dépassement d'honoraire.
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Divisez votre facture lunettes chez les opticiens mutualistes ou en choisissant des montures 1er prix (aussi fiables que les autres)
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Marie-elisabeth N
4 oct. 2010 à 13:06
Bonjour Jean -Noel , il ne faut pas s'etonner de la secu beaucoup de choses vont changer dans les années à venir , certaines personnes ne pourront plus se soigner ; des maladies reviendront ( la gale la turberculose ect ..) alors un remboursement de certificats medicaux pour eux c 'est très banal . Certains médecins ne font pas payer cette prestation quand ils ont l 'habitude de voir regulierement l 'enfant ..........!!!!!!!!!!! bonne journée
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Je trouve tout à fait normal que la visite pour un examen médical destiné à autoriser la pratique d'un sport ne soit pas remboursée. En effet, il s'agit d'un certificat de BONNE SANTE, ce qui veut tout dire. Une visite médicale doit être remboursée en cas de maladie! La CPAM n'est pas une vache à lait quoi qu'en pensent beaucoup. Vous voulez faire du sport , très bien, mais ce n'est pas la société qui doit participer financièrement à votre passe temps. 42 ans d'activité dans un organisme de Sécurité Sociale me permettent de vous assurer que si vous connaissiez tous les abus qui existent, vous seriez effarés et révoltés.
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Jean-michel V
5 oct. 2010 à 14:46
Bonjour , faite comme moi , et quité la SECU , et assurez vous librement en Europe . La retraite par capitalisation a été rendue possible par la loi du 8 août 1994 qui a transposé dans le droit français les directives européennes sur l'assurance n° 92/49/CEE et 92/96/CEE Voir site du MLPS ou Claude Reichmann
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Jean pierre E
5 oct. 2010 à 15:50
Je dis non au remboursement ces certificats médicaux sportifs par la Sécurité Sociale, et je pensais naïvement jusqu'à aujourd'hui que la question ne se posait pas. Mais je sais maintenant, en entendant poser ce genre de problème et admettre comme normal ce genre de revendication, pourquoi le gouffre de la Sécu est à ce point abyssal. Il y a des non-remboursements suffisamment scandaleux dans le domaine de la Santé Publique et de la Maladie pour s'émouvoir et revendiquer pour des choses infiniment plus sérieuses. Mettre la Sécu à contribution pour rembourser un acte facultatif de constat de bonne santé est ridicule et choquant. C'est plutôt aux Fédérations sportives de participer au remboursement de ces frais, puisque ce sont elles qui les provoquent et les génèrent. Je suis en revanche d'accord par la prise en charge, totale ou partielle, par les mutuelles complémentaires, celles des Fédérations, des Clubs sportifs ou des assurés individuels si les clauses et les options choisies le prévoient. Un certificat médical sportif est une dépense liée à la pratique du sport, au même titre que la souscription de la licence sportive et l'achat de vêtements ou de matériel.
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En effet les activités personelles doivent être financées par le budget personnel de chacun. Dans le même esprit, les accidents liés à la pratique du sport (ex: ski, alpinisme, rafting, foot) devraient être couverts par une assurance contractée par le sportif et non pas remboursés par la sécurité sociale au titre de la solidarité nationale.
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Franchement , si c'est obligatoire , ça doit être remboursé ! si ce n'est pas remboursé , une simple déclaration de responsabilité devrait suffire !
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sans commentaires Les incroyables dérives de l’A.M.E (Aide Médicale d’Etat) ! 10/10/10 Depuis dix ans, les étrangers en situation irrégulière peuvent se faire soigner gratuitement en France grâce à l'Aide médicale d'Etat (AME). Mais le coût du dispositif explose. … …/… Depuis deux ans, la facture de la couverture médicale des sans-papiers s'envole. Son rythme de progression est trois à quatre fois supérieur à celui des dépenses de santé de tout le pays: + 13 % en 2009 (530 millions d'euros pour 210.000 bénéficiaires) et encore + 17 % au début de cette année. De toute évidence, l'enveloppe de 535 millions d'euros prévue en 2010 sera largement dépassée. Pour l'an prochain, ce sont 588 millions d'euros que Bercy a mis de côté pour l'AME. Soit, à peu de chose près, le montant des recettes fiscales que le gouvernement veut récupérer sur les mariés/pacsés/divorcés, ou encore le coût global du bouclier fiscal, qui fait tant couler d'encre. Afin d'y voir plus clair, les ministères de la Santé et du Budget ont commandé un nouveau rapport à leurs services d'inspection. L'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l'Inspection générale des finances (IGF) ont déjà planché à deux reprises, en 2003 et en 2007, sur les nombreuses dérives de l'AME et ont émis des recommandations qui ont été partiellement suivies par les pouvoirs publics... des années plus tard. Ainsi, il a fallu attendre cette année pour que les attestations d'AME soient plastifiées et comportent la photo du titulaire. Pour la première fois, médecins, pharmaciens, infirmières et même certains militants associatifs commencent à dénoncer un système sans limite ni contrôle, parfois détourné de son objectif initial, voire carrément fraudé. C'est Laurent Lantieri qui, le premier, a mis les pieds dans le plat. Dans un entretien à L'Express publié début septembre, le grand spécialiste français de la greffe du visage a confié son agacement de voir les principes du service public «dévoyés» avec l'AME. «Soigner les étrangers en cas d'urgence ou pour des maladies contagieuses qui pourraient se propager me paraît légitime et nécessaire, prend-il soin de préciser. En revanche, je vois arriver à ma consultation des patients qui abusent du système.» Et de raconter l'histoire de cet Egyptien qui avait eu le doigt coupé bien avant de s'installer en France et demandait «une opération de reconstruction», prétextant qu'il n'avait pas confiance dans la médecine de son pays. «En réalité, poursuit le chirurgien, ce monsieur s'était d'abord rendu en Allemagne, mais il jugeait bien trop élevée la facture qu'on lui avait présentée là-bas. Une fois en France, il avait obtenu l'AME et il estimait avoir droit à l'opération!» Ce que Laurent Lantieri lui refusa. Du tourisme médical aux frais du contribuable? Claudine Blanchet-Bardon n'est pas loin de le penser. Cette éminente spécialiste des maladies génétiques de la peau voit parfois débarquer à sa consultation de l'hôpital Saint-Louis des patients AME venus du bout du monde exprès pour la voir. «Je vais vous dire comment ça se passe, confie-t-elle. Ils tapent le nom de leur maladie sur internet au fin fond de la Chine, tombent sur mon nom parmi d'autres et découvrent qu'en France, ils peuvent se faire soigner gratuitement. Ils arrivent clandestinement ici, restent tranquilles pendant trois mois et débarquent à ma consultation avec leur attestation AME, accompagnés d'un interprète. L'interprète, lui, ils le payent.» Le coût des traitements au long cours de ce type d'affection se chiffre en dizaines de milliers d'euros par an. Avec certains pays proches comme l'Algérie, l'affaire est encore plus simple. Un cancérologue raconte, sous le couvert d'anonymat : «Nous avons des patients qui vivent en Algérie et qui ont l'AME. Ils viennent en France régulièrement pour leur traitement, puis repartent chez eux. Ils ne payent que l'avion...» De plus en plus de médecins réclament un «véritable contrôle médical lors de l'attribution de l'AME». Ou, au moins, un accord de la Sécu avant d'engager certains soins. Car, à la différence de l'assuré social lambda, le bénéficiaire de l'AME n'a nul besoin d'obtenir une «entente préalable» avant d'engager des soins importants. C'est ainsi que des femmes sans-papiers peuvent faire valoir leurs droits à des traitements d'aide médicale à la procréation. «Pur fantasme!» s'insurgent les associations. «Elles ne sont pas très nombreuses, mais on en voit...» répond une infirmière d'une grande maternité de l'est de Paris, choquée que «la collectivité encourage des femmes vivant dans la clandestinité et la précarité à faire des enfants». Chaque tentative de fécondation in vitro (FIV) coûtant entre 8000 et 10.000 euros, la question mérite effectivement d'être posée. Le député Thierry Mariani n'en finit pas de citer cet article paru il y a deux ans et demi dans Libération* qui raconte l'histoire incroyable d'un couple de Camerounais sans-papiers qui voulait un enfant. Monsieur est «séropositif, il a deux autres femmes et sept enfants au Cameroun». Suivi en France pour son sida, il vient de se marier pour la troisième fois, mais sa jeune femme «n'arrive pas à être enceinte» et «s'est installée dans la banlieue parisienne depuis qu'elle a décidé de tenter une FIV. (...) Sans papiers, elle est en attente de l'Aide médicale d'Etat». Les médecins étaient, paraît-il, «perplexes» face à cette demande, mais ils finiront par y accéder. A l'heure où les hôpitaux croulent sous les déficits, «cette distribution aveugle de l'AME», selon le mot de Mme Blanchet-Bardon, finit par excéder les praticiens hospitaliers, «coincés entre leur devoir de soignant et les limites de la solidarité nationale». Pierre Henry, de France Terre d'asile, balaie les allégations de tricheries : «S'il y a des abus, les premiers coupables sont les médecins.» Mais le corps médical renvoie, lui, vers la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) qui délivre le précieux sésame. «Nous, on est là pour soigner, pas pour vérifier les attestations AME», souligne un médecin urgentiste. Le problème est que la CPAM ne fait elle-même qu'appliquer des textes d'une extrême légèreté, les seules conditions requises pour obtenir l'AME étant trois mois de résidence en France et des ressources inférieures à 634 euros par mois. Les demandeurs étant clandestins, le calcul des ressources relève de la fiction. «Nous prenons en compte les ressources au sens large: il s'agit plutôt des moyens de subsistance», explique un travailleur social, qui concède n'avoir aucun moyen de vérifier les dires du demandeur. En l'absence de données fiables, la situation des bénéficiaires de l'aide médicale est l'objet de vastes débats. Pour les associations, «l'extrême précarité» des immigrés clandestins justifie pleinement leur prise en charge totale par la solidarité nationale. Une affirmation qui doit être quelque peu nuancée. Selon une enquête réalisée en 2008 par la Direction des études du ministère des Affaires sociales (Drees) auprès des bénéficiaires de l'AME résidant en Ile-de-France, «près de 8hommes et 6femmes sur 10 travaillent ou ont travaillé en France». Il s'agit essentiellement d'emplois dans le bâtiment, la restauration et la manutention pour les hommes, de ménage et de garde d'enfants pour les femmes. L'hôpital représente un peu plus des deux tiers des dépenses AME, le solde relevant de la médecine de ville. Très souvent refusés par les praticiens libéraux en secteur II (honoraires libres), ces patients fréquentent assidûment les centres médicaux des grandes villes où toutes les spécialités sont regroupées. «Comme c'est gratuit, ils reviennent souvent», soupire une généraliste qui se souvient encore de la réaction indignée d'une de ses patientes, tout juste régularisée, à qui elle expliquait qu'«elle allait dorénavant payer un peu pour ses médicaments, et que pour (eux) aussi, c'était comme ça...». Dans cette officine proche d'une gare parisienne, on voit défiler chaque jour une dizaine de clients avec une attestation AME. «Pour la plupart, c'est de la bobologie: aspirine, sirop...» raconte la pharmacienne, qui vérifie avec soin les documents présentés. «La paperasserie, c'est l'horreur. Les attestations papier sont tellement faciles à falsifier.»Parfois, la clientèle AME est plus nombreuse, comme dans ce quartier du Xe arrondissement de Paris où les bobos cohabitent avec une forte population immigrée. «Sur 60ordonnances par jour, je fais une vingtaine d'AME», raconte la gérante d'une pharmacie. Dans le lot figurent presque à chaque fois deux ou trois trithérapies (traitements anti-sida) et autant de Subutex (traitement de substitution à l'héroïne). «Le reste, poursuit-elle, ce sont généralement des traitements pour les petites maladies des enfants, des gouttes, des vitamines, car nous avons une forte communauté asiatique dans le quartier.» Les pharmaciens sont particulièrement vigilants sur le Subutex, objet de tous les trafics. Même si la Sécu veille au grain, il est bien difficile d'empêcher un patient muni de son ordonnance de faire la tournée des pharmacies pour se fournir en Subutex avant de le revendre. Le tout sans débourser un euro. Il y a deux ans, un vaste trafic de Subutex, via l'AME, a été démantelé entre la France et la Géorgie. «L'AME, c'est une pompe aspirante», insiste un autre pharmacien, las de distribuer toute la journée gratuitement des médicaments de confort et des traitements coûteux à «des gens qui n'ont en principe pas de papiers en France, alors que les petites dames Âgées du quartier n'arrivent pas à se soigner». Les travailleurs sociaux ont aussi noté depuis le printemps 2009 un afflux d'immigrants d'Europe de l'Est et de l'ex-Union soviétique: des Roumains et des Bulgares (souvent des Roms), mais aussi des Tchétchènes, des Kirghiz, des Géorgiens, et même des Russes. Les associations sont débordées par ces arrivées de familles entières. «On ne va pas pouvoir accueillir tout le monde», soupire Geneviève, permanente dans un centre d'accueil pour étrangers, qui se souvient d'un Roumain arrivé en France il y a peu, avec pour seul bagage un petit bout de papier sur lequel son passeur avait écrit: «Ici boire manger dormir argent.» Commentaire : Il faut d’urgence mettre fin à ce scandale issu de la démagogie socialiste de Mme Aubry et arrêter cette pompe aspirante de l’immigration clandestine ! Pendant que des Français aux revenus modestes ne peuvent pas se payer une complémentaire santé, les clandestins, eux, sont pris en charge à 100% pour tout, c’est une histoire de fou !, et naturellement les « associations » de défense des sans-papiers poussent des cris d’orfraie à la simple annonce de l’étude du problème .. !
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C'est honteux! Si le gouvernement reversait la totalité des taxes ( soit disant pour la Sécu), la Sécurité Sociale serait en excédent.
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Jean-noêl , je ne comprends pas bien la question , et dans quel sens ? Annie
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Marie-elisabeth N
4 oct. 2010 à 13:10
oui c est vrai ce que dit Chantal la taxe des cigarettes devaient reverses à la sécu ; est ce que ça se fait vraiment ......!!!!!!!!!!!
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C'est vrai que c'est honteux et Chantal a raison pour le déficit de la sécu. Par contre, quand on va chez le médecin, même si c'est pour un certificat médical, le médecin n'est pas obligé de mentionner l'objet de la visite, sur la feuille de soins, il marque "consultation", c'est tout. Vous avez pu avoir une angine en même temps...
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la personne qui a vraiment besoin d'un certificat médical ira quand même chez son médecin, remboursement ou pas,la secu joue sur ca
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je crois que les remboursement des certificats medicaux soprtifs est moins important qu une maladie et cela devrais etre gratuit c n est qu un papier a remplir de toute facon nous allons vivre comme les americains il faudras faire notre secu nous meme et faire s des h entieres de boulots pour y avoir droit
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Manger cinq fruits par jour, Bouger, faites du sport pour être moins malade ou alors payez!! c'est bête ce que je dis payez c'est dans toutes les situations! m'enfin!
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d'accord avec Marinette.
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Je rêve , alors que tous ces jeunes ont des jeux vidéos , des liaisons internet qui côute cher, et quelquefois des grossses bagnoles. A eux d'en assumer les conséquences.
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Je ne comprends pas très bien la question. Les certificats médicaux seraient-ils à payer en plus de la visite au cours de laquelle les médecins vous les font ?. Quoiqu'il en soit, je suis comme une majorité, je pense que, d'ici quelques années, les remboursements seront tellement réduits que nous devrons soit avoir des mutuelles de plus en plus chères, soit ne pas en avoir et ne pas se soigner. Déjà je trouve scandaleux que les lunettes et les dents ne soient pratiquement pas pris en charge alors que cela peut entraîner des maladies plus graves, alors le reste ! Tout s'en va à veau (vaut ?) l'eau.Je vais vérifier l'orthographe exacte. J'aurais dû le faire avant mais c'est trop tard !.
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Bonjour. Actuellement, je crois que le certificat médical sportif,est remboursé par la sécurité sociale.A une période, le gouvernement voulait supprimer le remboursement de cette visite chez le médecin,,mais celà ne s'est pas fait et c'est tant mieux,surtout pour les jeunes qui veulent faire du sport dont les parents n'ont pas de ressources. Alors,qu'on les aide!
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